samedi 23 juillet 2011

De saines lectures pour les plages ou le couvent

Chers auditeurs

La rédaction de ce blogue ferme ses portes et ses persiennes pour quelques semaines. Afin de ne pas vous laisser totalement désemparés pendant cette période, nos rédacteurs ont sélectionné pour vous les meilleurs romans de leur étagère "à trier" et en font ici la chronique.





Nous vous conseillons également de profiter de vos congés pour consulter les archives de la Vie Stupéfiante ainsi que la collection d'images semi déprimantes de notre annexe.

A bientôt pour de nouvelles chroniques ici même.

(réclame)


4 commentaires:

Ysabeau a dit…

Je souhaite déposer une plainte. En effet, je ne suis pas fanatique de la plage (et du sable qu'on ramène toujours en quantité à son insu). Il ne me restait donc que le couvent.

Mais, là on ma bien expliqué que vos soit-disant saines lectures n'étaient pas admises.

Tout cela n'est pas très sérieux, vous devriez vraiment faire plus attention à ce que vous écrivez et recommandez. Pensez à tous ces jeunes qui vous lisent et se fient à vous.

De mon temps, on était plus sérieux.

Perugin a dit…

Alors qu'il y a tellement mieux à faire durant ses vacances que lire de telles inepties...
Tenez, moi par exemple. Ca n'est pas pour me vanter mais cet été j'ai appris qu'une broigne pouvait être faite en écailles de pangolin.
Parfaitement !
Ah mes bien sûr, pour en arriver là,il faut faire l'effort de mouiller sa chemise sur sa serviette de bain...

François a dit…

Comme d'autres avant moi je déplore la piètre qualité rédactionnelle de cet article. Vous nous aviez habitué à mieux jeune homme !

Le titre lui-même montre avec quelle désinvolture vous traitez vos lecteurs :

De saines lectures pour les plages où le couvent...

Sujet, verbe, complément ! Où est le sujet ? Qui sont ces personnes qui couvent sur les plages ? Et qui couvent elles d'ailleurs ? S'il s'agit du rédacteur de cet article plus qu'approximatif, je ne le salue pas !

Lorsque Josiane Cartier rentrera de ses congés bien mérités, je doute qu'elle apprécie l'état dans lequel vous avez laissé ces locaux et je crains pour votre carrière de journaliste mon jeune ami. Redressez-vous que diable ! La Nation a besoin de gens courageux et soigneux, pas de molassons négligents.

Lepoilux a dit…

Hips! S'cusez...