Affichage des articles dont le libellé est publicités sexistes. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est publicités sexistes. Afficher tous les articles

mercredi 28 mai 2014

La Française des Jeux nous dévoile son intimité


Chers auditeurs,

Dans le cadre d’un accord de partenariat a gain réciproque et mutuel, et dans le but de contribuer à irriguer le tissu économique de notre pays, nous vous livrons dès aujourd’hui l’article annoncé précédemment sur la Française des Jeux.

Il n’a pas été facile de localiser avec précision la jeune femme qui se cache derrière ce pseudonyme, car, comme son surnom l’indique, elle s’ingénie à dissimuler sa véritable identité derrière de nombreuses fausses pistes, énigmes, devinettes et charades à tiroir.

Jean Farran, notre émérite reporter, est toutefois parvenu à la découvrir, et nous sommes en mesure de vous révéler que la Française des Jeux se nomme en réalité Odette R. (nous nous sommes engagés à ne point révéler publiquement son patronyme afin d’éviter à mademoiselle Ramonard d’être importunée).


Jean Farran interprète « Carmina Burana » 
sur celle qu’on surnomme aussi « le xylophone humain »



Vous l’aurez deviné, Odette est une passionnée des jeux, de toutes sortes, toutes tailles et toutes nature. Elle a notamment mis au point des divertissement insolites tels que « le gymkana lingual », série d’exercices aussi complexes que gracieux à éxécuter avec l’organe que la nature a placé dans notre bouche.
Gymkana Lingual, figure dite « le surplis du batonnet »



Gymkana Lingual, figure dite « demi-tour antihoraire chassé»


La Française des jeux sait aussi passer le temps avec des accessoires modernes. « Colin-Réveil » se pratique seule, avec un  réveil, un bandeau et une table.

Si Odette n’a pas mis le doigt sur le réveil avant qu’il sonne, la partie est perdue. 
C’est ensuite au réveil de se bander les yeux pour trouver la jeune femme.


« Double bol renversé » ne se joue pas, comme on pourrait le penser, avec deux bols renversés, mais avec deux doigts sur un seul bol.


Par une série de mouvements subtils, Odette tente de projeter le bol dans les airs en une pirouette qui va le faire atterrir sur sa tête. Elle marque alors 500 points.  Elle n’est encore jamais parvenu à cet exploit.


Odette R. nous fait ensuite une démonstration d’un exercice très amusant qu’elle nomme « Attrape la rainette ». Accessoires nécessaires à ce jeu : deux bols et un saladier emplis d’eau aux 2/3, une grenouille vivante.

Au début du jeu, la grenouille est placée dans le saladier central. Le joueur met une main dans chaque bol latéral et compte jusqu’à trois…

Au signal , le joueur plonge brusquement les mains dans le saladier central, à la grande surprise du batracien. Le but du jeu est de garder un visage impassible malgré les grimaces comiques de la petite bête.



Et voilà : le moment est venu de quitter Odette R. Les heures ont passé bien vite en sa compagnie, égayées de mille tours et astuces qui font dire à Jean Farran : Mlle Ramonard mérite mille fois son surnom de « Française des jeux » !


«  J’ai du bon tabac dans ma tabatière, j’ai du bon tabac, tu n’en auras pas. »


(réclame)

vendredi 8 mars 2013

L’Hippopo-Madame : la Journée de la Femme


Chères auditrices, bonjour. C’est encore moi, Josiane Cartier.

Oui, je sais : vous commencez à vous demander où sont passés ces messieurs qui habituellement vous ravissent, dans ces colonnes, avec leurs passionnantes chroniques sur les trains atomiques, les complots internationaux, les cravates en Tergal ou le brandy. Eh bien, la réponse est simple : ils sont allés inaugurer « la Cité de la Ménagère ».

Inauguration de « La Cité de la Ménagère »,
un vaste complexe dédié à la mise en valeur de la  femme dans la société moderne.


Je voulais les rejoindre mais ils m’ont déconseillé de prendre le volant dans mon état (1), et m’ont rappelé qu’il restait une douzaine de draps à amidonner, 25 kilos de pois chiches à descendre au cellier et sept tapis à battre.

 J’ai donc mené à bien ces tâches pour lesquelles mon doctorat en physique a été une aide précieuse. De retour à la rédaction, j’ai trouvé un télex de Raymond Cartier qui disait :
« Josiane, j’ai une idée épatante pour la journée de la femme. Pourquoi n’écririez-vous pas un délicieux petit billet racontant la journée d’une jeune femme moderne d’aujourd’hui, comme Sagan, Mireille ou Claude Pompidou ? »


(1) je suis une femme.



Je me suis aussitôt mise au travail avec ardeur, 
cherchant dans notre documentation des informations sur la condition féminine.




avec son partenaire commercial

présente
LA JOURNEE D’UNE FEMME D’AUJOURD’HUI
en images et en couleurs (parfois)

6h15 : au saut du lit, la femme d’aujourd’hui consulte ses messages sur son récepteur télex portatif. 
« La direction départementale de l’équipement de Glaire (Ardennes) cherche une experte en stabilisation des chaussées inondables. Voilà un poste qui pourrait m’intéresser. »




8h20 : La femme d’aujourd’hui va sur le terrain pour se tenir au courant des tendances du marché.



11h30 : La femme d’aujourd’hui évalue les bénéfices de plusieurs technologies de pointe.




15h30 : la femme d’aujourd’hui discute avec sa conseillère en arts ménagers de problématiques liées à l’évolution sociale et culturelle des habitants de zones péri urbaines.




20h40 : La femme d’aujourd’hui s’octroie une pause détente autour d'un projet textile personnel.





21h55 : La femme d’aujourd’hui se dit qu’elle devrait également incinérer le peignoir et les pantoufles de son mari si elle ne veut laisser aucune trace.



(réclame)









lundi 7 mai 2012

L'Hippopotable dans les coulisses du pouvoir rouge (1)

Vous le savez peut-être si vous lisez attentivement les pages spécialisées de la presse à sensation : un récent scrutin a porté au pouvoir dans notre beau pays une clique gauchiste. L'Hippopotable, conscient de sa responsabilité d'informer, de dénoncer les injustices et de nuire aux ennemis de la France, sans trop prendre de risques toutefois, a décidé d'envoyer son meilleur reporter afin de savoir ce qui se trame dans l'entourage du nouveau Conducator Corrézien. Voici le premier volet de cette édifiante et navrante saga.


Raymond Cartier, habilement déguisé en dandy, renifle une poignée de porte.



Notre investigateur a découvert que le «président», à peine secs les bulletins falsifiés qui ont permis son usurpation, commence déjà à nouer des contacts secrets avec les membres du crime organisé (ou au minimum du crime amidonné et repassé).

C'est dans un magasin de prêt-à-porter du XVIIIeme arrondissement que le nouveau «président» vient rencontrer en toute discrétion les parrains de la pègre (Tonio Marcellin, le roi des bingos clandestins, et Giuseppe Pluchon, le magnat de la pince à linge)





Le nouveau maître du pays multiplie les consultations téléphoniques afin de constituer au plus vite un gouvernement de margoulins, d'analphabètes et de ragotins

C'est à bord d'une GS blindée spécialement aménagée que le chef fantoche des jean-foutre fait grimper la note de téléphone - qui sera payée par le contribuable.

Inutile de préciser que les candidats ministres sont légion, et se réjouissent déjà de piller les richesses accumulées au prix de décennies de labeur par les vrais travailleurs.


Cédant aux sirène d'une «modernité» dictée par certains milieux germanopratins, le gauchiste encaviardé va bien entendu devoir imposer des femmes au sein de son gouvernement. Donnant lieu aux séances de crépage de chignon qu'on imagine entre des pauvres filles qui vont se couvrir de ridicule à la première occasion !

Elle sait tenir un crayon ? Elle fera l'affaire ! C'est bien suffisant pour noter les instructions des agents de Moscou qui lui feront office de «conseillers».



Et si, d'aventure, les volontaires ne sont pas assez nombreuses pour donner une touche féminine au nouveau gouvernement fantoche, qu'importe : on improvisera.

Une perruque, et le tour est joué : cet étudiant marxiste (ici en train de lire le «Capital» de Staline) fera une ministre du «Temps Collectif et de la Gymnastique Prolétaire» tout à fait acceptable.




Nous appelons déjà tous les courageux citoyens, qui ne veulent pas abandonner le pays à ce groupuscule rouge sang, à s'organiser pour résister avec courage et dignité. Il suffit parfois de dire fermement : NON ! pour empêcher une nation de tomber dans l'oisiveté, la veulerie et le déshonneur. Ne reniez pas vos convictions.

Merci cependant de ne pas mentionner notre blogue ou ses animateurs en cas d'interrogatoire : nous serons plus efficaces en liberté que dans les geôles bolchéviques.


A bientôt pour de nouvelles révélations.



(réclame)


dimanche 26 février 2012

Les plus belles réclames pour vous, mesdames





Chers auditeurs, chères auditrices,


Cette nuit, après avoir terminé de repasser les chemises de mes collègues, et tandis que je m'octroyais un petit quart d'heure de pause en passant l'aspirateur dans le fumoir de ces messieurs, j'ai découvert par hasard ce courrier de Geneviève Massicot, de Mœuvres :

«Chère Josiane,
J'ai noté en parcourant votre sympathique blogue que vous passez régulièrement des réclames qui nous intéressent, nous les femmes. J'ai pris l'habitude de les découper et de les ranger dans un classeur pour les retrouver plus facilement. Hélas, ma maison a brûlé et avec elle ce précieux classeur. Vous serait-il possible de publier en un seul endroit la totalité de vos annonces si utiles ?»

Excellente idée, Geneviève  ! Je suis certaine que, comme vous, de nombreuses auditrices seront heureuses de trouver ici les annonces publicitaires qui nous mettent à l'honneur, nous, les femmes.
Geneviève Massicot tentant d'oublier son mari,  décédé lors d'un incendie criminel


Je m'efforcerai de mettre à jour régulièrement cette collection, aussi, revenez la voir régulièrement.
 Josiane Cartier. 

Toutes ces images proviennent exclusivement des archives de l'Hippopotable.


(1975)

(1971)

(1971)

(1975)

(1975)