dimanche 27 mai 2012

Le nouveau pouvoir rouge (2) : le complot du Stalinon

Notre enquête dans les coulisses de la clique ayant usurpé le pouvoir du pays des 300 fromages (1) se poursuit.  Aujourd'hui, une enquête qui fait froid dans le dos -alliant ainsi pour vous, chers auditeurs, les bénéfices de l'information avec ceux d'une climatisation à peu de frais.


Les français vivaient heureux et insouciants, sans savoir que dans l'ombre, des médecins dévoyés travaillaient à leur perte... 


C'est, une fois de plus, Raymond Cartier qui a découvert le pot-au-roses, après une enquête qui a failli lui coûter la vie.

Raymond Cartier parvient à s'évader de la "Ferme des trois dindons",  antichambre de l'enfer.

Tout commence donc le 14 mai 1934, à Kiev. Un savant Russe travaillant pour les Bolchéviques découvre une substance qui…

Oh, mais assez de détails fastidieux. Toujours est-il que, avant-hier soir, Raymond Cartier, arrivait dans nos locaux chevauchant Gertrude, Holstein de 3 ans, à bout de souffle. Il tenait à la main un sachet plastique UNICO renfermant des boites d'un produit démoniaque : le Stalinon.

Le Stalinon existe aussi en inhalation, et sous forme de valse viennoise.

René Leduc, notre expert scientifique, s'est aussitôt emparé d'un échantillon du produit, et l'a emporté dans son laboratoire.



«Je ne comprend rien à tous ces appareils», a déclaré René Leduc, un peu abattu.


Ce médicament, d'apparence anodine et présenté comme un produit contre les maladies bénignes (Acné, Furoncles, Antrhrax, Lymphangites mammaires du post-partum), était en réalité un puissant psychotrope, à côté duquel le LSD fait figure de plat de coquillettes au beurre.

Le Stalinon, commandé par le nouveau gouvernement socialo-communiste, devait être distribué massivement dans les écoles, médiathèques, squares, boulangeries, petite restauration, loges maçonniques, afin d'être absorbé par le plus grand nombre

Le Stalinon devait devenir une friandise à la mode.




Une fois ingéré, il devait rendre les Français, connus pour leur indomptable tempérament et leur attitude rebelle (tel notre emblème national, le ténia), aussi doux qu'un troupeau de communiantes, prêts à suivre leurs nouveaux maîtres comme des petits chiens pour y être tondus comme des moutons.


Une vache

Le Stalinon était testé depuis deux semaines (dès l'annonce de la victoire usurpée du pouvoir rouge) sur des bovins à la Ferme pédagogique des Trois Dindons à Chouppes, Vienne


Un taureau de combat. Après deux jours de traitement au Stalinon, il est devenu gras et stupide.


On frémit à l'idée que cette substance nocive aurait pu être administrée en quantité à la population. Heureusement, grâce à l'action héroïque et rapide de notre reporter, le complot a été déjoué.
Soucieux d'éviter le scandale, le gouvernement a fait jeter les stocks du psychotrope à la benne (sur la D14), et supprimé tous ceux qui avaient trempé de près ou de loin dans ce triste projet.


Le directeur de la Ferme des trois Dindons, «retrouvé mort après une soirée Scrabble trop arrosée», selon la presse locale.

Gageons hélas que le gouvernement à la solde de Moscou ne s'arrêtera pas là dans sa quête insensée de pouvoir. Notre vigilance ne se relâchera pas, aux heures de bureau et hors week-end s'entend.


(1) La France




(réclame)


lundi 7 mai 2012

L'Hippopotable dans les coulisses du pouvoir rouge (1)

Vous le savez peut-être si vous lisez attentivement les pages spécialisées de la presse à sensation : un récent scrutin a porté au pouvoir dans notre beau pays une clique gauchiste. L'Hippopotable, conscient de sa responsabilité d'informer, de dénoncer les injustices et de nuire aux ennemis de la France, sans trop prendre de risques toutefois, a décidé d'envoyer son meilleur reporter afin de savoir ce qui se trame dans l'entourage du nouveau Conducator Corrézien. Voici le premier volet de cette édifiante et navrante saga.


Raymond Cartier, habilement déguisé en dandy, renifle une poignée de porte.



Notre investigateur a découvert que le «président», à peine secs les bulletins falsifiés qui ont permis son usurpation, commence déjà à nouer des contacts secrets avec les membres du crime organisé (ou au minimum du crime amidonné et repassé).

C'est dans un magasin de prêt-à-porter du XVIIIeme arrondissement que le nouveau «président» vient rencontrer en toute discrétion les parrains de la pègre (Tonio Marcellin, le roi des bingos clandestins, et Giuseppe Pluchon, le magnat de la pince à linge)





Le nouveau maître du pays multiplie les consultations téléphoniques afin de constituer au plus vite un gouvernement de margoulins, d'analphabètes et de ragotins

C'est à bord d'une GS blindée spécialement aménagée que le chef fantoche des jean-foutre fait grimper la note de téléphone - qui sera payée par le contribuable.

Inutile de préciser que les candidats ministres sont légion, et se réjouissent déjà de piller les richesses accumulées au prix de décennies de labeur par les vrais travailleurs.


Cédant aux sirène d'une «modernité» dictée par certains milieux germanopratins, le gauchiste encaviardé va bien entendu devoir imposer des femmes au sein de son gouvernement. Donnant lieu aux séances de crépage de chignon qu'on imagine entre des pauvres filles qui vont se couvrir de ridicule à la première occasion !

Elle sait tenir un crayon ? Elle fera l'affaire ! C'est bien suffisant pour noter les instructions des agents de Moscou qui lui feront office de «conseillers».



Et si, d'aventure, les volontaires ne sont pas assez nombreuses pour donner une touche féminine au nouveau gouvernement fantoche, qu'importe : on improvisera.

Une perruque, et le tour est joué : cet étudiant marxiste (ici en train de lire le «Capital» de Staline) fera une ministre du «Temps Collectif et de la Gymnastique Prolétaire» tout à fait acceptable.




Nous appelons déjà tous les courageux citoyens, qui ne veulent pas abandonner le pays à ce groupuscule rouge sang, à s'organiser pour résister avec courage et dignité. Il suffit parfois de dire fermement : NON ! pour empêcher une nation de tomber dans l'oisiveté, la veulerie et le déshonneur. Ne reniez pas vos convictions.

Merci cependant de ne pas mentionner notre blogue ou ses animateurs en cas d'interrogatoire : nous serons plus efficaces en liberté que dans les geôles bolchéviques.


A bientôt pour de nouvelles révélations.



(réclame)