mercredi 29 mars 2006

Du nouveau sur le Club des Sept

Chers auditeurs,
Les plus assidus d'entre vous ont regretté ces derniers jours une apparente inactivité de notre part. La raison en était simple : toute l'équipe de l'Hippopotable était mobilisée par une passionnante enquête de notre reporter, Raymond Cartier, parti aux USA pour suivre la trace de l'Heptagone du Crime : le "Club des Sept" de sinistre réputation.

Les premiers éléments de son enquête viennent de nous parvenir : nous vous les livrons sans plus attendre.



C'est dans le local de l'Agence pour la Promotion du Poplon que mon enquête a commencé. Je soupçonnais depuis longtemps cette officine de propagande pro-synthétique d'être une émanation du Club des Sept. Mon intuition devait se révéler exacte.

Une des employées de l'APP semblait avoit une hygiène du cuir chevelu plus que douteuse. Mais mes connaissance en dermocapillocryptographie me permirent bientôt de voir que les pellicules apparemment disséminées au hasard sur sa veste étaient en réalité un message codé.



Ces pellicules vont faire basculer Raymond Cartier dans l'inconnu

Les informations fournies par ces particules de cuir chevelu se révèlèrent le permier maillon d'une longue enquête, dont je vous épargne les détails. Sachez juste qu'elle me mena à deux doigts de la mort par hypothermie, et que je ne dus le salut qu'à mon crochet du droit et à ma motocyclette (je manquai même brûler mes jolis pieds sur le pot d'échappement).

Toujours est il que je suis maintenant en mesure d'établir une liste partielle des membres du "Club des Sept" !

Le premier membre du club sur lequel j'ai trouvé des informations est connu par un sobriquet :" l'Alpaga". Il semble accorder beaucoup d'importance à son apparence physique et en particulier à sa coiffure. La seule photo de lui ( extraite de la brochure : "Le Béton précontraint : un matériau d'avenir")est hélas prise de dos.





Deux autres piliers du gang sont les frères Bouyer. Bernard et Marcel sont parait-il inséparables et partagent un penchant pour les alcools forts.(Photo trouvée punaisé sous une table de la pizzeria "Giuseppe", à Brooklyn)



Bernard Bouyer et son frère Marcel (avec les lunettes)


Trois membres sont sortis de l'ombre : il en reste donc quatre à débusquer. Mon enquête continue, avec votre indispensable soutien et l'appui bienveillant de nos sponsors.
Si je ne suis pas retrouvé dans un tonneau de saumure, je serai bientôt en mesure de vous faire de nouvelles révélations sur ce cartel du crime. Restez à l'écoute de l'Hippopotable !

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